Qui sommes-nous ?
Quelles sont nos valeurs ?
L’association Vivre en Ville a été créée le 28 juillet 2007. C’est un événement fondateur mis en œuvre par des parents qui décident de se regrouper pour mener à bien leur objectif, permettre à leurs enfants de prendre leur place dans une société que nous souhaitons inclusive, une société qui ne laisse personne à l’écart. Une société dans laquelle les personnes en situation de handicap sont connues et reconnues au même titre que tout autre citoyen.
Quelles sont nos valeurs ?
L’association Vivre en Ville a été créée le 28 juillet 2007. C’est un événement fondateur mis en œuvre par des parents qui décident de se regrouper pour mener à bien leur objectif, permettre à leurs enfants de prendre leur place dans une société que nous souhaitons inclusive, une société qui ne laisse personne à l’écart. Une société dans laquelle les personnes en situation de handicap sont connues et reconnues au même titre que tout autre citoyen.
Comment mettre en oeuvre un tel projet ?
En 2007 beaucoup de structures se trouvent en périphérie des villes, voire en campagne. L’idée est de prendre le contre-pied, installer une résidence en centre-ville pour faciliter l’insertion de nos résidents dans le quartier, dans la ville, dans la société. Le centre-ville et sa densité de population met tout à portée, les transports, les loisirs, les commerces… Cette résidence permettra à chacun d’avoir son chez-soi, de décider de son quotidien, d’être indépendant. Chaque résident conservera la totalité de ses ressources et prendra en charge ses besoins propres tels que le paiement du loyer et charges associées, la nourriture, les habits, les loisirs… Notre public, présentant une déficience intellectuelle, nécessitera un dispositif médico-social pour l’accompagner et faciliter l’ouverture des possibles.
Suite à notre réponse à un appel à projet du département des Pyrénées Atlantiques et à de nombreuses discussions, le projet est accepté. La construction de l’immeuble démarre et la résidence Le Cairn ouvre ses portes le 1er septembre 2012. L’immeuble est partagé avec l’association « Habitat jeunes Pau Pyrénées » qui nous donne une formidable opportunité de mixité sociale entre jeunes travailleurs et personnes en situation de handicap. Notre outil est en place pour la mise en œuvre de notre projet de vie.
Comment mettre en oeuvre un tel projet ?
En 2007 beaucoup de structures se trouvent en périphérie des villes, voire en campagne. L’idée est de prendre le contre-pied, installer une résidence en centre-ville pour faciliter l’insertion de nos résidents dans le quartier, dans la ville, dans la société. Le centre-ville et sa densité de population met tout à portée, les transports, les loisirs, les commerces… Cette résidence permettra à chacun d’avoir son chez-soi, de décider de son quotidien, d’être indépendant. Chaque résident conservera la totalité de ses ressources et prendra en charge ses besoins propres tels que le paiement du loyer et charges associées, la nourriture, les habits, les loisirs… Notre public, présentant une déficience intellectuelle, nécessitera un dispositif médico-social pour l’accompagner et faciliter l’ouverture des possibles.
Suite à notre réponse à un appel à projet du département des Pyrénées Atlantiques et à de nombreuses discussions, le projet est accepté. La construction de l’immeuble démarre et la résidence LE CAIRN ouvre ses portes le 1er septembre 2012. L’immeuble est partagé avec l’association « Habitat jeunes Pau Pyrénées » qui nous donne une formidable opportunité de mixité sociale entre jeunes travailleurs et personnes en situation de handicap. Notre outil est en place pour la mise en œuvre de notre projet de vie.
Et la suite ?
La résidence dispose d’un agrément de type foyer d’hébergement expérimental qui limite à un public ayant entre 20 et 60 ans et travaillant en milieu protégé (ESAT) ou ordinaire.
Nous souhaiterions assouplir ces barrières et permettre à nos résidents de conserver leur logement et leur accompagnement dans le cas où ils sortiraient de ce cadre réglementaire tout en ayant les capacités pour continuer cette expérience. Au-delà de l’inclusion dans le quartier, ce dispositif permettrait une mixité intergénérationnelle associée à des niveaux de déficience intellectuelle différents. Un mode gagnant/gagnant, dans lequel l’entraide, le partage et la valorisation de chacun représentent les valeurs fondamentales.
Et la suite ?
La résidence dispose d’un agrément de type foyer d’hébergement expérimental qui limite à un public ayant entre 20 et 60 ans et travaillant en milieu protégé (ESAT) ou ordinaire.
Nous souhaiterions assouplir ces barrières et permettre à nos résidents de conserver leur logement et leur accompagnement dans le cas où ils sortiraient de ce cadre réglementaire tout en ayant les capacités pour continuer cette expérience. Au-delà de l’inclusion dans le quartier, ce dispositif permettrait une mixité intergénérationnelle associée à des niveaux de déficience intellectuelle différents. Un mode gagnant/gagnant, dans lequel l’entraide, le partage et la valorisation de chacun représentent les valeurs fondamentales.